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UNE PAR JOUR SEULEMENT, MAIS SANS JAMAIS RENONCER

Photo noir et blanc du livre les 77 MARCHES avec un moine qui monte des marches.

LES 77 MARCHES

UNE PAR JOUR SEULEMENT, MAIS SANS JAMAIS RENONCER

C'est "LE" LIVRE à s'offrir ! Une marche chaque jour, une page à lire chaque jour, pour "grandir" et/ou méditer ! Un livre essentiel, la bible du processus de Déconditionnement du Papillon, à emporter partout!

Quelques extraits des premières marches :

MARCHE N°1

C’EST MOI LE GÂTEAU,

L’AUTRE NE PEUT ÊTRE QU’UNE BELLE CERISE !

 

J’arrête de donner autant d’importance à l’autre.

Il peut être à la fois « beaucoup » et « rien » !

Je me protège et alors, il peut avoir une magnifique place dans ma vie, mais je lui enlève le pouvoir de me rendre heureux ou malheureux.

Mon travail est de préparer la maison.

Alors l’invité est bienvenu et je serai prêt à l’accueillir,

mais il pourra aussi s’en aller.  

Je saurai me consoler.

Je ne donne plus à l’autre,

le pouvoir de me rendre malheureux ou heureux.

Ainsi je vais sortir de la dépendance affective,

je vais arrêter de demander à l’autre

de compenser mes manques.

JE VAIS ESSAYER DE NE PLUS RIEN ATTENDRE DE L’AUTRE,

sinon j’aurai toujours besoin de quelqu’un pour être épanoui.

Chaque fois que je pourrai ne rien lui demander, je le ferai !

JE NOURRIS MES BESOINS

ET MES MANQUES PAR MOI-MÊME :

Ma seule question devient :

 « Qu’est ce qui est bon pour moi, là, tout de suite ? »,

et je fais ce qu’il faut pour me l’offrir.

 

 

MARCHE N°2

JE N’IMAGINE PAS

CE DONT JE SUIS CAPABLE,

TOUT M‘EST DORÉNAVANT POSSIBLE !

 

Si petit, je n’ai pas été valorisé,

il y a de grandes chances que j’en aie perdu ma confiance, mon estime

et qu’alors, je vive en permanence une sensation d’échec insatisfaisante.

Maintenant que je suis grand,

j’enregistre que la seule personne

qui pourra m’offrir la confiance et l’estime

que je n’ai pas eues dans ma petite enfance,

c’est moi.

Je vais donc enterrer cette mauvaise croyance

et la laisser à mon histoire.

Il me suffira donc de croire en moi,

et jour après jour,

d’enregistrer mes victoires

en commençant par des petites.

C’est un peu comme un athlète

qui doit s’entraîner pour une épreuve.

Il en est de même pour le succès, il arrive rarement sans effort.

Je crois en moi, cela ne dépend dorénavant que de moi.

Je ne confie plus cette tâche à quiconque !

Moi seul peut réparer et je commence ceci aujourd’hui !

Jour après jour, petit à petit,

TOUT M’EST DORÉNAVANT POSSIBLE,

Je ne laisse plus l’ancien me saboter !

 

 

MARCHE N°3

JE STOPPE TOUTE COMPARAISON !

 

Chaque fois que je me compare,

je trouverai meilleur que moi.

Je me juge donc négativement chaque fois,

je me mets un échec.

S’il y a meilleur que moi, il y a aussi moins bon que moi, mais curieusement ceci n’est pas ma référence.

Celui qui est meilleur que moi à un endroit,

l’est moins à un autre où je suis plus performant.

Si l’autre peut être plus performant que moi dans un domaine, je peux être meilleur que lui dans une autre.

Mais c’est ensemble que se crée la vie.

Elle se crée à deux et à plusieurs.

La vie a besoin de moi tel que je suis.

Le meilleur footballeur du monde à lui seul ne fera pas gagner son équipe. S’il est bon pour marquer des buts, il n’est pas bon pour les arrêter.

J’arrête aujourd’hui de me saboter en me comparant.

Les autres n’ont pas les talents que j’ai, et je n’ai pas forcément les talent qu’ils ont.

Je ne ressemble à personne,

je suis une belle et unique personne !

 

 

MARCHE N°4

JE FAIS LE DEUIL DE L’ÊTRE IDÉAL,

CE FANTÔME N’EXISTE PAS !

 

Au départ l’autre « idéal » n’est que le reflet de ma représentation, de ma projection :

je ne sais rien de lui et je le trouve extraordinaire.

C’est seulement lorsque je vivrai avec lui que je vais découvrir qui il est,

et pourrai commencer à apprendre à l’accueillir dans sa vérité et non dans ma projection.

Avec le temps il perdra de son « extraordinaire » et je dois alors me rappeler

que mon désir n’a pas vocation à durer et risque de baisser.

En fait, je dois lutter contre deux choses :

1/ mon exigence avec son possible : « c’est mieux ailleurs »,

alimentée par ma peur de m’engager afin de ne pas souffrir encore.

Ce leurre qui ne m’offre aucune garantie,

car moi seul pourrai me mettre à l’abri de souffrir en me sécurisant.

2/ mon imaginaire, ma mémoire qui ne se rappelle que de l’intensité du désir

en refusant d’intégrer qu’on se lasse de tout.

Où croyez-vous que je peux trouver une plénitude ?

Dans quelque chose qui peut ne pas durer et dépendra de l’autre ?

Ou dans le plaisir et l’intimité qui ne dépendent que de moi,

de ma capacité à donner et à recevoir ?

L’être idéal est un fantôme, un bien consommable

que je peux épuiser avant d’en chercher un autre.

Je peux y consacrer ma vie sans jamais le trouver car il n’existe pas !

Je chasse ce leurre qui me fait croire

que mon bonheur passe par quelqu’un d’autre que moi

et qui peut inconsciemment alimenter mon incapacité à m’engager,

à nourrir une multitude d’alibis, ou à trouver des partenaires impossibles,

pour ne plus prendre le risque de souffrir à nouveau.

 

 

 

 

 

MARCHE N°5

JE ME FOUS DU REGARD DES AUTRES !

JE SUIS LA PRIORITÉ DES PRIORITÉS

 

Si je n’ai pas été vu par mes parents, surtout par mon père,

il est fort possible que je ne trouve ma valeur que dans les yeux de l’autre.

Je lui donne alors le pouvoir de me juger et de me rendre heureux ou malheureux,

je deviens consciemment ou inconsciemment dépendant affectif.

Le grand risque est que toute ma vie, je nourrisse cette dépendance.

C’est comme si pour être aimé, je devais recevoir l’approbation des autres.

Non, je peux être aimé comme je suis !

Je dois quitter cette prison, c’est de mon unique responsabilité.

Je vais le faire en me nourrissant par moi-même,

avec mon côté mère qui me consolera et mon côté père qui me protègera.

JE DOIS DÉFINITIVEMENT ME CHOISIR !

JE ME FOUS DU REGARD DES AUTRES

devient ma religion !

Il est très facile de confondre « égoïsme » et « être sa priorité ».

Dans une relation, l’autre est souvent là pour compenser nos manques

avec la conséquence inévitable que ma satisfaction dépendra de la réponse de l’autre.

Mon travail consiste à compenser mes manques par moi-même,

à me nourrir par moi-même, à pourvoir à mes besoins et mes désirs

et en évitant de le demander à l’autre.

Je ne peux donner que si je suis rempli,

sinon, je ressemble à une passoire trouée, toujours dans la demande par rapport à l’autre.

Mon travail est de me remplir. Tout ce que je peux m’offrir par moi-même, je dois me l’offrir.  

C’est ainsi que je vais m’inscrire dans une autonomie et sortir de la dépendance affective.

Être sa priorité n’est pas ne pas prendre en compte l’autre,

je pratique les 4 voies de la relation :  MARCHE N°48

Ensuite deux choix s’offrent à moi :

continuer à souffrir de cette prison et être enclin au jugement des uns et des autres,

leur donner les clés de mon malheur ou bonheur ;

ou décider du jour au lendemain de m’extraire de cet ancien monde

avec cette phrase magique :

je suis ma priorité et je me fous du regard des autres !

 Alors je peux oser celle ou celui que je suis, je peux me montrer,

je peux mettre cette chemise à fleurs, ce décolleté délicieux,

je peux dire ma désapprobation, je peux aller à l’encontre du plus grand nombre, etc.…

Que vais-je décider : subir encore ou me choisir ?

etc...

à découvrir, lire et relire

 

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